dimanche 1 mars 2015

Carnaval de Rio de Janeiro

aucun problème avec l'avion. en ce lundi de carnaval la ville de Rio est immobilisée. le traffic fortement ralenti, des groupes déguisés courrent , jouent, chantent ds tous les sens. Après 3h de bus en provenance de l'aéroport je parviens à mon hostel où je retrouve mes affaires. aussitôt arrivé je questionne la nouvelle receptionniste Anna au sujet des places pour aller voir le défilé du carnaval au sambodrome. elle m'annonce qu'il reste une place pour ce soir pour 20€. je saute sur l'occasion. un groupe d'argentins m'invite à se joindre à eux pour aller au sambodrome ( sorte de grand amphithéâtre tout en long où défile les magnifiques chars et groupes de samba costumés.). nous trouvons tant bien que mal une place ds les gradins. les brésiliens commence à gueuler puisqu'ils n'ont plus de place pour danser. et commence à bousculer comme ci on était pas là. certains ne nous laisse même pas passer. je leur signale qu'on a tous payé l'entrée. le défilé commence à 18h et fini à 6h du matin. un nombre incalculable d'école est représentée. une longue nuit de couleur et de musique.  d'autant que le rythme reste le même pdt tous le défilé.  j'ai encore la musique ds la tête... le lendemain je retrouve Timothy rencontré 2fois auparavant en bolivie par hasard. nous décidons d'aller au bloco "orchestra voadora" (groupe de musique type fanfare très populaire). sur place le ciel est noir, le vent souffle fort, les gens déguisés sont dispersés ds tous les sens, la première impression que nous avons est qu'il s'agit d'une scène apocalyptique... ça faisait froid ds le dos. une sensation qui nous a fait froid ds le dos ds le parc de flamengo. nous rencontrons des groupes de filles avec des pancartes freehug, d'autres entrain de s'embrasser langoureusement, d'autre ds une trance. nous rencontrons un groupe de fille déguisée en infirmière sexy ne nous laissant pas indifférents puis nous suivons le bloco en mouvement avant de rejoindre des amis brésilien de Tim. en arrivant chez eux, ceux ci sont entrain de se préparer,  maquillage, déguisement... très rapidement nous les imitons et rejoignons un autre bloco "egypçao". en arrivant sur place je m'aperçois qu'il s'agit d'un bloco gay. mon maquillage ne rate pas, je me fait draguer, certains tentent de me prendre la main, d'autres cherchent à savoir si j'ai déjà essayé un homme... bref je me sens un peu seul, d'autant que Tim s'est trouvé une partenaire. je décide de rentrer au bout du dixième gay qui tente de me convertir. je rencontre sur le chemin du retour ds le bus un groupe de brésiliens qui me proposent de venir boire un verre chez eux. j'accepte. le groupe est composé que de gay. puis je continue ma route pour retourner sur copacabana et fais la connaissance de 3anglais qui m'invitent à se joindre à eux pour aller en boîte sur ipanema. je suis emporter par le mouvement. ds la boîte une épaisse fumée vient occulter les gens ne laissant entrevoir que leur silhouette, on se serait cru ds un épisode de scoobi doo ds les marécages. retour au bercail à 8h30. grasse mat jusqu'à environ 15h. je pique une tête à copacabana et me prépare pour rejoindre Tim au bloco de super mario bros ds santa teresa. Sur place le bloco est déjà en marche, les gens entrain de danser. nous les imitons. je perd rapidement le groupe, mais fait la connaissance d'un autre groupe de brésilien déluré, et nous adonnons à une séance de maquillage collectif homme et femme. des fioles de catchaças marinés circulent. des danses entrainantes... nous nous déplaçons avec ce nouveau groupe vers un bloco plus reggae. vers 2h je quitte le groupe pour rejoindre le groupe des argentins du premiers jours ds une boîte. en arrivant sur place c'est l'euphorie. je croise capitaine Anna et ses matelos (loly, maria, julie)!! couché de nouveau aux aurores. pour ma dernière journée une séance détente sur la plage de copacabana en compagnie de lissandro, eduardo des argentins, puis marines une française,  et tim le canadien. une séance de danse improvisée avec des gens rencontrés sur la plage tjrs sur le rythme de "happy", et il est temps de quitter tout le monde et Rio. un départ pour le moins difficile, c'est pas comme ci je ne laissait rien derrière moi. et C'est le coeur lourd que je quitte le Brésil et son carnaval des bisous!

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