truchocapic: MALAISIE - Kuala Lumpur Day 1

4e journée Kuala Lumpur après une bonne sieste bien méritée Visite de la capitale malaisienne où se mélange culture indienne chinoise et indonésienne. Un melting pot qu'on retrouve à travers la cuisine de rue. Nous commençons par la tour Menara la plate-forme d'observation inférieur à 276m et la terrasse impressionnante à 300m. Nous avons traversé l'éco park une passerelle dans la canopée qui traverse une épaisse forêt tropicale de 9 hectares au coeur de la ville. Le parc est aussi appelé la colline des Ananas. Au sommet de la tour Menara nous rencontrons Shana une suissesse qui voyage seule depuis 6 mois en Asie. Nous visitons la ville ensemble le Chinatown, masjid India , le centre historique meskara square et ses temples chinois, hindous, central Market...l'architecture charmante avec ses édifices coloniaux, immenses galeries marchandes et grattes ciels vertigineux. Des étals ploient sous des piles de durians odorants et autres fruits exotiques (mangoustan, lychee...) et de sacs à main de contrefaçon, des monorails filent à travers une végétation luxuriante, et les habitants sirotent des cafés froids ou dégustent les plats de la cuisine de rue. Shana nous fait voyager de par ses aventures tantôt sur un volcan en Indonésie tantôt en Inde où elle a vécu 3 mois pour suivre des cours de yoga et devenir masseuse. Nous flanons à travers cette ville agréable où la chaleur reste beaucoup plus supportable qu'à Pékin.

Lorsque la nuit tombe nous admirons les 2 tours Petronas illuminées. Semblables à 2 fusées d'argent elles symbolisent la perfection et l'essor fulgurant de la ville. Les Tours achevées en 1998 conçues par l'architecte argentin César Pelli pour le siège de la compagnie pétrolière et gazière Petronas. 88 étages près de 452 m. Nous échangeons avec un groupe de taiwanais le temps de quelques photos dans le parc des tours avec jeux de lumières multicolores et jets d'eau. Un petit repas qui tarde a arriver dans le Chinatown puis un passage au Reggae Bar. De nombreux voyageurs s'y arrêtent nous rencontrons des backpakers venus d'Argentine, du Nigeria, du New Jersey, une allemande et un syrien en exil depuis 4 ans. Je (Stéphanie) suis d'abord un peu euphorique et grisée par ce mélange de cultures mais l'américain monopolise la parole et l'énergie du groupe au lieu de laisser la place à d'autres aux récits sûrement plus captivants et sensés. Nous terminons finalement vers 3h30, il fait encore chaud c'est comme si la température ne baissait jamais ici. Certains travaillent sur des chantiers à mains nues d'autres rangent ou profitent du calme de la nuit pour préparer la nouvelle journée.