3e jour, on plie bagage avant de partir à la découverte du marché P...Nous arrivons vers 10h sur place les artisans s'installent à peine.On y découvre au fur et à mesure une multitude de stands de peintures typiques (représentation de scènes traditionnelles, des samouraïs, des empereurs chinois, Mao, des fleurs de lotus, des paysages paisibles chinois, des portrais de gueshas etc) sur papier de riz ou bambous, des ventes de pierres précieuses à l'infini et des reliques de partout. Nous sommes les 2 seuls touristes ce matin, nous finissons par trouver des statuettes de dragons. Un coup de coeur pour un petit haut vent à la peinture vernie retraçant les épopées des anciennes dynasties. De retour vers l'hôtel pour récupérer les bagages direction l'aéroport de Pékin pour notre vol prévu à 15h50 vers Kuala Lumpur. Nous regrettons de ne pas avoir pu visiter le temple du ciel que nous essaierons de voir pendant l'escale du retour. Nous passons juste à temps le contrôle des bagages après avoir lutter avec la connexion internet pour la énième fois! En Chine il est impossible de se connecter sur les réseaux sociaux et autres applications utiles et nécessaires en voyage comme tout ce qui touche à google. Ils disposent de Yahoo mais paraîtrait que beaucoup de sites et applications sont bloquées.Nous arrivons à la porte d'embarquement et là...2 heures de retard puis ces 2h se transformeront en 8h. Au départ on pense passer la nuit dans l'aéroport on nous distribue qq bouteilles d'eau et des biscuits secs, sur lesquels les malaisiens et chinois se ruent en se bousculant comme ci la famine allait prochainement se faire sentir. Au moment d'embarquer un malaisien pousse des cris de joie comme s'il célébrait le nouvel an chinois! Moi (stephanie) je ne suis pas du tout rassurée vu que le retard viendrait de mauvaises conditions climatiques (tempête). Bref ça va secouer!Les pilotes hésitent de nouveau 15 20 minutes puis nous décollons. Vincent somnole moi je redoute un peu. Le vol est chaotique les gens sont "dissipés" irrespectueux, ils écoutent leur films sans écouteur volume à fond, pendant qu'un enfant chinois de 5ans braille à tue tête pdt tout le voyage. Certains paniqués comme l'homme assis à côté complètement perdu qui terminera à l'arrivée en fauteuil roulant complètement amorphe. Le vol a été compliqué beaucoup de turbulences et d'appréhension. Nous passons de nouveau le contrôle des entrées sur le territoire service immigration vers 6h du matin puis direction l'hébergement Citin seacare dans la rue Pudu à côté de Chinatown escortés par un malaisien qui se rendait au travail dans la rue Pudu à côté. Un malaisien qui partait travailler nous aide à retrouver l'hébergement Citin sicare dans la rue Pudu. Épuisés par le rythme intensif sur Pékin et le vol Nous décidons cette fois de faire une "sieste" pour être d'attaque à Kuala Lumpur.
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